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Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Un cas célèbre:le poltergeist d' Enfield Nous sommes en 1977 dans la petite ville d’Enfield en Angleterre. Après un divorce la famille Harper composée d’une mère et de ses 4 enfants vit tranquillement dans une maison . Tout commence pour la famille Harper le 30 août lorsque dans la chambre de Pete et Janet âgés respectivement de 10 et 11 ans, le lit des deux enfants se met à bouger. Le lendemain la commode de leur mère se déplace légèrement, d’environ 50 cm. La mère paniquée fait venir des voisins qui entendent des bruits étranges... La nuit suivante plusieurs jouets et objets sont projetés dans la chambre des deux enfants sans que personne n’y ait touché. La famille prévient la police qui sera témoin de ces étranges événements, la femme agent de Police Carolyn Heeps raconte qu’elle a vu des chaises se déplacer. On verra des livres s’envoler des étagères et l’on entendra à plusieurs reprises une voix rauque au dessus du lit de Janet.

La presse apprend l’affaire grâce à des proches de la famille, qui par l’intermédiaire du Daily Miror contacte alors la Society for Psychical Research. Cette association va alors envoyer l’un de leurs spécialistes Maurice Grosse. Un second investigateur les rejoindra, Guy Playfair. Les phénomènes continuent, la famille et les deux personnes de l’association sont témoins de déplacement d’objets, de chaises, un radiateur est arraché du mur, la fille Janet lévite à plusieurs reprises, plusieurs photos seront prisent pendant toute l’enquête. Les experts ne purent pas mettre en doute l’authenticité de la voix. Ils dissimulèrent des caméras et purent filmer tous ces événements. Les deux enquêteurs finissent par entrer en communication avec l’entité qui leur affirme qu’elle a vécu dans ce lieu depuis 30 ans et qu’elle refusait de partir. La fille Janet est la plus touchée par le phénomène et semble possédé par moment par cet esprit. Les enfants voient des silhouettes la nuit, des ombres comme si il y avait du monde dans la pièce. En décembre l’entité reprend la parole pour siffler et aboyer, il dit se nommer Joe Watson.

Le temps passe et les phénomènes continuent, plusieurs incendies se déclenchent dans des tiroirs, les murs se couvrent de graffitis obscènes... Plusieurs médiums viendront pour essayer de calmer les esprits perturbés... Et ce n’est que vers 1979 que les événement prirent fin, ils diminuaient en intensité après que Janet parti quelques temps à l’hôpital pour finalement disparaîtrent quelques temps après. On ne sait jamais vraiment ce qui se passa, la famille refusa d’en reparler. Peut être un esprit tourmenté, peut être la frustration de la jeune fille à cause du divorce de ses parents, en effet les poltergiests apparaissent souvent avec des jeunes filles qui ont des problèmes enfermés en elle... En tout cas les documents, les témoins tout laissent à penser qu’il s’est passé vraiment ces années là, dans cette petite ville des phénomènes bien étranges...
Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Le double mystérieux d'une enseignante française Connu aussi sous son nom germanique de Doppelgänger, le "double" est un phénomène parapsychique particulièrement inquiétant, d'autant qu'une vieille tradition européenne veut qu'apercevoir son propre "reflet" signifie une mort imminente...

Les récits de personnes affirmant avoir rencontré leur double sont généralement traités comme des cas d'hallucination : hallucination qui peut être dangereuse et entraîner des troubles assez graves chez le sujet pour le conduire au suicide. Mais l'inverse se produit aussi : une personne peut n'avoir aucune conscience du double présent à ses côtés, et ce sont les témoignages de l'entourage qui lui font décourir cette présence. Tel est le cas de l'enseignante française Emilie Sagée au milieu du XIX° siècle.

Enigme en Lettonie

En 1845, le directeur d'un institut pour jeunes filles nobles, le pensionnat von Neuwelcke, situé dans l'actuelle Lettonie à environ 60 km de Riga, engage comme professeur de français une jeune femme du nom d'Emilie Sagée, qui dit être née 32 ans plus tôt à Dijon. Le nouvelle préceptrice, d'un tempérament très gai, fait preuve d'un intelligence et d'un sens de l'éducation qui attirent bientôt favorablement l'attention du directeur, Herr Bush. Mais, quelques semaines après son arrivée, des rumeurs commencent à circuler parmi les 42 élèves de l'établissement.
D'étranges phénomènes se produisent en effet : à plusieurs reprises, alors qu'une élève dit avoir vu la préceptrice à un bout du bâtiment, une autre affirme l'avoir croisée au même moment à l'autre extrémité du pensionnat. Au début , les professeurs ne prêtent guère oreille à ces bruits absurdes. Puis l'affaire se complique. Un jour, alors qu'Emilie Sagée est au tableau noir, en train de donner un cours de grammaire à 13 jeunes filles (parmi lesquelles une certaine Julie von Güldenstubbe à qui on doit plus tard le récit du cas), une silhouette apparaît à ses côtés, imitant ses mouvements à la perfection. Le seul détail qui diffère est l'absence de craie dans la main. Le double continue à se manifester au cours des semaines qui suivent (il est également vu par des domestiques) et il adopte progressivement un comportement de plus en plus indépendant. Ainsi, un jour, les 42 élèves sont occupés à des travaux de broderie dans une pièce du rez-de-chausée, sous la suiveillance d'une maîtresse. Par la fenêtre les enfants peuvent apercevoir Emilie Sagée dans le jardin. A un moment donné, leur surveillante s'absente... pour être remplacée par le double, immobile et silencieux. Dehors Emilie Sagée semble subitement avoir des difficultés à se mouvoir. Dans la classe, certaines jeunes filles osent s'approcher et constatent que le double de la préceptrice n'offre qu'une légère résistance aux mains, qui le traversent. Il finit par disparaître.
Tous ces évènements émeuvent, bien sûr, au plus haut point les jeunes pensionnaires et provoquent de nombreux départs. Au bout de dix-huit mois, les parents ayant retiré 30 élèves sur 42 élèves, le directeur prend la décision de se séparer d'Emilie. Celle-ci soupire, avant de partir, que c'est la dix-neuvième fois qu'elle est obligée d'abandonner un post, toujours pour la même raison depuis qu'elle a commencé à donner des cours à l'âge de 16 ans...
Julie von Güldenstubbe reste en contact avec son ancien professeur jusque dans les années 1850. Après quoi, on perd définitivement la trace de celle-ci en Russie, où elle a émigré comme préceptrice au service d'une famille.

De Dijon aux plaines russes...

Trois auteurs étudient et relatent l'histoire d'Emilie Sagée en se fondant sur le témoignage de la baronne Julie von Güldenstubbe, personnage à l'existence indéniable, qu'ils connaissent personnellement et dont garantissent l'intégrité. Ce sont l'écrivain et homme politique américain Roberts Dale Owen, l'astronome français Camille Flammarion et le parapsychologue russe Alexander Akasov. Flammarion essaie, en vain, de retrouver la trace d'une Emilie Sagée qui serait née en 1813 à Dijon. Il découvre, en revanche, une enfant illégitime d'un nom d'Octavie Saget, née le 13 janvier 1813. Emilie et Octavie sont probablement une seule et même personne, la jeune femme ayant choisi de changer de nom pour masquer son illégitimité, chose courante à l'époque. Quant au pensionnat, des recherches modernes n'ont pas permises d'en retrouver la trace, ce qui ne veut rien dire si on tient compte de l'histoire tumulteuse de la Lettonie jusqu'à nos jours.
Le témoignage de Julie von Güldenstubbe laisse supposer une relation "vampirique" entre Emilie Sagée et son double : à chacune des apparitions de celui-ci, en effet, la jeune femme semble être prise d'une fatigue plus ou moins intense, comme si le double la privait de son énergie.
Emilie est, en fait, incapable de voir son double et ne déduit sa présence que du comportement alarmé des gens qui l'entourent et de la faiblesse qui l'envahit. Si cette histoire est vraie, on ne peut qu'avoir pitié d'une femme affligée d'une pareille malédiction...

Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Autostoppeuses fantômes, apparitions routières...

Dames Blanches

Dames Blanches : Représentation de la dame blanche.

Il est recensé en France 297 apparitions régulières de ces spectres exclusivement féminins, qui hantent certaines de nos routes. De nombreux témoignages s'accumulent au sein de nos commissariats faisant face à un phénomène certes pas nouveau.

 

L'histoire étrange, mais bien réelle se répète encore et encore, à l'infini :

Voici le "portrait-robot" le plus répandu de nos âmes voyageuses : il s'agit donc d'autostoppeuses silencieuses, le plus souvent vêtues de blanc (ce qui leur vaut leur appellation légitime et familière). Elles sont accostées aux abords d'une ville par les automobilistes-témoins : ces "Dames Blanches" comme on les nomme couramment, formulent clairement leur destination, puis se murent dans un silence inquiétant avant, au détour d'un virage dangereux, de se volatiliser du véhicule samaritain, laissant un témoin plutôt éberlué qui se rappellera durant longtemps de ce mystérieux passage.

Certains, comme le cas de Michel P., auront toujours en mémoire le souvenir de cette rencontre énigmatique qui fait souvent froid dans le dos ! C'est en 1979 que Michel fait route vers Limoges un soir d'hiver et qu'il distingue en plein virage une forme blanche près d'une discothèque : Abordant une jeune femme d'environ une vingtaine d'années, notre témoin très naturellement lui demande où souhaite-t-elle aller à une heure si tardive : "A Limoges, chez des amis si ça ne vous ennuie pas, ne vous en faites pas je me débrouillerai là-bas..."

Jusqu'ici, rien de bien invraisemblable pour Michel P. La jeune auto-stoppeuse prend donc place à l'avant tout naturellement. L'automobiliste témoignera du profond mutisme de la jeune fille qui semble tout droit sortir d'un film des années sixties, de par la robe qu'elle porte... La route se poursuit ainsi tranquillement jusqu'à l'approche d'un autre virage, au Pont de la révolution : c'est à ce moment précis que notre jeune passagère semble effrayée soudain, lançant plaintivement à Michel de négocier prudemment ce fameux virage, ce qu'il fait bien évidemment... Soudain, un cri déchire la nuit, faisant sursauter l'automobiliste qui en tournant la tête vers son étrange passagère, s'aperçoit que celle-ci s'est en quelque sorte "dissoute dans l'atmosphère" !

C'est en stoppant tout net son véhicule et animé d'un sentiment de stupeur et de terreur que Michel P. constate en descendant que, décidément, il ne reste que le brouillard d'une glaciale nuit hivernale : il est tout seul...

Pas un seul témoin ne pourra attester de sa bonne fois. Mais Michel ne se désarme pas, il compte bien témoigner de son étrange et sinistre aventure. Arrivé à Limoges il fait sa déposition à la gendarmerie où on lui confirme qu'il n'est pas le seul à avoir fait la rencontre nocturne d'une auto-stoppeuse fantôme !

Plusieurs cas ont en effet été déjà signalés de nombreuses fois au fameux Pont de la révolution, qui fut témoin de la mort d'une jeune femme, accidentée en voiture 20 ans plus tôt... Michel P. ressent sans doute à ce moment-là un profond soulagement : ainsi, d'autres automobilistes ont vécu comme lui cet étrange épisode fantomatique, ce qui ne l'empêche pas d'être bouleversé, on le comprend, par cette rencontre fort singulière.

Témoignage d'une errance...

Quelles sont les motivations des entités routières ?

Des hypothèses ne manquent pas de jaillir au coeur des esprits : quel rôle semble être rejoué incessamment par ces fameuses "Dames Blanches" ? Est-ce un rôle protecteur et bienveillant afin d'anticiper et éviter les accidents de la route ? Où bien incarnent-elles des âmes vengeresses errant sur terre pour au contraire entraîner dans la mort de pauvres automobilistes serviables n'ayant apparemment rien à voir avec leur destin funeste ?

Tous les témoins semblent se rejoindre pour confirmer l'attitude au demeurant sympathique de ces jeunes âmes errantes sur les routes de France. Avouons qu'il est plutôt difficile de contredire tous ces témoignages plus solides les uns que les autres !

Les psychologues réagissent aux faits en avançant la thèse des visions épileptiques, ou même d'hallucinations collectives quand les témoins sont nombreux. En ce cas, comment expliquer d'éventuelles "preuves matérielles" constatées en certains cas ?

Quant aux sociologues, il serait tout juste question de légendes urbaines pour attester du phénomène au sein de nos ères contemporaines. Mais qui dit "légendes" révèle un mythe de source populaire intégré aux traditions : ce qui fait de lui en l'occurrence, une croyance non constatée par le biais d'un témoignage où tout paraît concorder ! Ce qui réfute alors cette dernière hypothèse, décidément moins fondée, surtout au regard des nombreux témoins du phénomène...

Un scénario récurrent

Toujours ou presque le scénario similaire : une jeune femme accidentée quelques années auparavant se plante au beau milieu d'un virage qui a fait sa perte, ou bien près d'un carrefour non moins dangereux, pousse un cri puis disparaît de leur siège passager.

Certaines de ces âmes en détresse s'agitent et semblent incontrôlables quand le lieu funeste apparaît : c'est ainsi le cas d'une auto-stoppeuse fantôme régulière du Calvados, décédée au croisement près de la forêt de Cerisy.

Cette âme en peine semble très persuasive et se manifeste toujours par temps pluvieux ce qui rappelle immanquablement un décor de film d'horreur !

Plusieurs habitants du village confirment de cette apparition insistante. Il s'agit apparemment d'une jeune fille de moins de 20 ans, qui éternellement rejoue la scène de son propre drame depuis 1960 ! Celle-ci compte bien se faire "entendre" afin que la signalisation soit respectée, puis comme les autres elle disparaît sa mission accomplie...

On pourrait ainsi se dire que les mystérieuses "Dames Blanches" sont bénéfiques en cas d'automobilistes imprudents : leur seule apparition serait sans doute un électrochoc pour bon nombre d'insouciants de la route.

Preuves matérielles et tactiles

D'autres cas d'apparitions encore plus troublants, cette fois marqués par la disparition d'objets. Il s'agit ici d'une matérialisation de dame blanche prise en stop dans le département de l'Isère, par un médecin grenoblois :

 

C'est donc en 1977, par une pluie battante que notre témoin pris en charge une jeune femme vêtue de blanc et peu volubile apparaissant régulièrement sur la N90 à Chapareillan. La jeune apparition désirait aller tout simplement chez ses parents. Arrivée à la hauteur du Pont aux furets, elle démontra des signes d'agitation non dissimulés s'estompant passé le danger, ce qui veut dire que notre "heureux" témoin eut le privilège, si l'on peut dire, d'une apparition plus longue. Un peu plus loin, nos compagnons de route arrivent alors devant une maison que l'inconnue déclare être celle de ses parents. Comme la pluie se fait plus battante, notre charmant médecin prête son parapluie toujours sans savoir ce qu'il va se produire. La jeune femme prend l'objet puit s'éloigne sous les yeux de l'automobiliste, entre bien dans la maison en question pour ne jamais plus en ressortir. Croyant à un oubli de sa part, notre témoin rejoint la fameuse demeure pensant ainsi récupérer son bien. Mais ce n'est pas une jeune femme qui lui ouvrit tardivement cette nuit-là :

Stupéfait, notre homme découvre qu'il s'agit d'un couple de quinquagénaires ayant perdu leur fille unique dans un accident de moto, devinez où... au Pont du furet, bien entendu ! Effectivement les pauvres gens dont on imagine l'émotion, confirment dès la description du médecin qu'il s'agit bien de leur fille disparue...

Certains témoins automobilistes pris d'ardeurs soudaines pour leur "apparition " déclarent que le contact avec la peau de l'inconnue semblait incroyablement glacial, mais bien palpable malgré le manque réactif de la passagère fantôme qui n'oublie jamais sa mission préventive (ou vengeresse ?).

En effet, ces êtres spectraux semblent se matérialiser tout comme nous autres humains. D'apparence humaine, ils sont dotés de parole, mais non loquaces pour autant, vêtus le plus fréquemment de blanc bien qu'il existe également certaines apparitions dotées de ce qui semble être du cuir (pour les accidentées de moto surtout ).

Le mystère reste hélas entier bien que les témoignages sont légion sur une bonne partie de la France.

Pas d' "hommes blancs" recensés ?

Et l'on peut aussi s'interroger quant aux hommes morts accidentellement. Que sont devenues leurs âmes, pour quelle raison ne s'investissent-elles pas, elles aussi de cette mission auprès des automobilistes ? Peut-être est-ce tout simplement parce que les autos-stoppeurs masculins sont moins nombreux que les autos-stoppeuses, qui sait ?

Cela ferait figure d'hypothèse...

On parle en effet souvent des "Dames Blanches" car ce sont elles qui sont recensées à sillonner certaines zones routières de notre pays.

Rencontres plus fréquentes dans certaines régions françaises

Tout ce que l'on sait c'est que le phénomène est récurrent, surtout dans certaines régions comme la Bretagne, et en Poitou. Peut-être avez-vous déjà trouvé sur votre chemin ces fameuses "Dames Blanches", peut-être même avez-vous également fait votre déposition dans un commissariat proche de cet incident, mais il est certain en tout cas que vous ne sortirez pas indemne de cette étrange rencontre du 3e type.

 

Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Jennifer Love Hewitt rencontre les fantômes  

 

Jennifer Love Hewitt est tombée des nues. Lors d'une émission télévisée sur le spiritisme à laquelle elle participait, elle est entrée en contact avec un fantôme mais... pas n'importe lequel. Sa grand-mère, en personne, est venue la saluer ! L'actrice a annoncé que c'était incroyable puisqu'elle était morte. Petite information pratique pour Jennifer, pour rencontrer un fantôme, il vaut en effet mieux que la personne soit morte. Bref, le jeune fille, nullement impressionnée, a relaté l'évènement comme tel : "Elle venue me dire bonjour et a précisé qu'elle me regardait souvent. Ce fût une expérience vraiment très agréable". Info, intox, à vous de juger...
Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...L'opéra hanté

 

Fairmount, Indianapolis - Un groupe d'étudiants qui utilisaient un bâtiment vieux de 120 ans pour des répétitions théâtrales a été témoin d'évènements paranormaux qui les pousses à croire à l'existence d'un fantôme en ces lieux.

Il y a un an, peu de temps après que les étudiants aient commencé à répéter dans l'opéra de Scott, les histoires de fantôme ont commencé, a indiqué Judy Cowling, présidente de « Historic Fairmount »

Il y avait des bruits bizarres, les lumières s'éteignaient sans raison et les objets se déplaçaient d'un endroit à l'autre. Un jeune a même affirmé avoir aperçu le visage d'un homme barbu. Cowling, dont le groupe possède le bâtiment et espère le rénover, ne croit pas que le bâtiment est hanté : "je suis très sceptique" a t-elle avoué.

Pour prouver son point de vue, Cowling a décidé de passer une soirée avec les étudiants dans la vieille bâtisse, qui a été construite en 1884 dans une ville à environ 100 kilomètres au Nord-Est d'Indianapolis. Cette nuit là, alors qu'elle entrait dans une chambre, la porte s'est brusquement refermée derrière elle, l'empêchant de sortir de la pièce.

En mars les rumeurs circulant sur l'opéra ont attiré des traqueurs de fantômes arrivant d'Indiana. Après avoir installé leur équipement sur les lieux, ils ont vérifié les changements des champs électromagnétiques qui d'après eux pourraient indiquer la présence de spectres. Ils ont également pris des photos pour tenter de capturer des images invisibles à l'œil humain. Aucun fantôme n'a été vu, mais de nombreux spectateurs curieux ont assisté à l'investigation.

Cowling a indiqué que le groupe de chasseurs de fantômes d'Indianapolis projette sa propre recherche.

Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article... Train fantôme Un train fantôme, sans conducteur ni passager, a traversé silencieusement douze gares de la banlieue de Melbourne et sept passages à niveau avant de percuter un autre train, faisant onze blessés légers.

Le convoi a roulé sans alimentation électrique sur 15 kilomètres, vide et tous feux éteints, avec des pointes de vitesse à 100 km/h. Son système de freinage d'urgence n'a pas fonctionné.

Il a même failli rattraper un train de voyageurs qui roulait lentement sur la même voie et dont le conducteur a reçu ordre d'accélérer
 

Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Danemark: fantômes délogés dans l'enceinte du château d'Hamlet (Belga) Les serveuses d'un restaurant situé dans le château de Kronborg au Danemark, connu comme le château d'Hamlet, respirent: une spécialiste de l'au-delà a délogé la plupart des fantômes qui les poursuivaient depuis l'été.

"Depuis l'ouverture en juin, des choses bizarres se passaient le soir, une fois le service terminé, dans la pièce 14 du restaurant : des bougies qui se rallumaient toutes seules (...), des portes qui claquaient sans raison, des tables qui étaient dressées dans un autre ordre, des bouteilles de vin qui tombaient des étagères", explique Dorte Andersen, serveuse au Kronvaerket. "J'avais vraiment peur, et je n'étais pas la seule", poursuit-elle. Une parapsychologue, Birgitte Graae, a été appelée à la rescousse pour faire fuir les mauvais esprits. "Elle est dans les lieux depuis l'été et a pu nous débarrasser de la plupart des fantômes, mais il en reste encore, je le sens", ajoute Dorte. (GFR)

Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Faits troublants Une photo prise dans le studio´du tournage de "trois hommes et un couffin" Le garcon, en arrière plan n'a été vu par aucune personne de l'équipe de tournage. Après de longues recherches, on a trouvé que ce garcon était décédé dans cette pièce, quelques années auparavant.

Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Vaisseaux fantômes - En 1840, un navire français, la Rosalie, est retrouvé errant sur les flots, voiles hissées et cargaison intacte mais déserté par ses marins.

- En 1850, le Seabird est découvert près du port de Newport avec seulement un chien à bord. Le café est encore chaud sur les fourneaux et les instruments de bord fonctionnent. Une odeur de tabac flotte même dans les cabines.

- En 1883, la goélette J.C Cousins s'échoue sur la côte américaine. Il n'y a personne sur le navire. Dans la cuisine, le poêle est encore tiède et la table mise. Le journal de bord qui date du matin même ne mentionne rien de particulier.

- En 1940, dans le golfe du Mexique, le yacht Gloria Colite est retrouvé en pleine mer alors que le temps est beau. L'équipage n'est plus là et les soutes sont pleines de vivre.

- En 1953, le Holchu est découvert dérivant entre les îles Nicobar et Andaman. Un repas semblait être sur le point d'être servi ; la radio fonctionnait et pourtant l'équipage s'est envolé sans envoyer le moindre SOS.

 

Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article...Fantôme à la fenêtre Voici une série de photo de fantômes, selon mes sources, elle aurait été prise par un certain Terry Lambert dans l'Indiana. Il était accompagné de son ami Guy Winters, ils avaient entendues des rumeurs concernant une maison qui serait hantée par le fantôme d'une femme. Intrigués, ils décidèrent de faire leur propre enquête. Ils allèrent donc à cette maison (c'était un soir d'orage, il était minuit), ils prirent plusieurs photos autour et à l'intérieur de la maison. Pendant qu'il prenait les photos, Guy Winters dit qu'il sentit alors une présence le submergeait suivi d'une odeur de soufre et de rose, puis il entendit un cœur battre (et il dit que ce n'était pas le siens). Les deux camarades s'enfuirent alors de cette maison, mais ce n'est qu'en développant les photos que Terry se rendit compte qu'il y avait ce « spectre » dessus. Les photos ont été certifiés authentique par les expert
Utilisez ce lien si vous voulez ajouter un signet ou un lien direct vers cet article... Fantome

 

 



Mme Mabel Chinnery venait de visiter la tombe de sa mère, prendre des photos de sa tombe, et en partant voulu prendre la photo son mari dans la voiture, au développement elle y vit son mari... et sa mère assise sur le siège arrière...

 On la voit avec ces lunettes derriere
....

Le créateur du navire, Isambard Kingdom Brunel, avait déjà fait ses preuves en construisant des ponts et des chemins de fer lorsqu’il avait eu l’idée de construire une cité flottante qui relierait Londres au reste du monde. A cette époque, les architectes navals avaient déjà conçu et fabriqué des vaisseaux de ligne d’un tirant de 3 000 tonnes. Mais le Great Eastern de Brunel les laissait loin derrière. Avec son tirant d’eau estimé à 100 000 tonnes, il pouvait faire rougir de honte tout ce qui flottait. Dix énormes chaudières alimentées par 115 fournaises activaient deux roues à aubes de 10 mètres et un propulseur d’appoint de 7 mètres. La fumée s’échappait par cinq cheminées. Le Great Eastern avait un matériel auxiliaire qui aurait pu équiper une petite armada – dont deux ancres de cinq tonnes chacune, six mâts immenses et son propre générateur de gaz.

Il n’empêche : il était hanté. Lors du repas donné pour son lancement, Brunel avait invité tous les ouvriers qui avaient participé à sa construction et un seul manquait à la fête, un charpentier qui avait travaillé à la cloison double de la cale.

Le baptême et le lancement du navire ne se déroulèrent pas comme prévu : le volume et le poids du navire firent se bloquer le mécanisme de lancement. Il n’aurait probablement jamais pu être lancé si une marée d’équinoxe ne l’avait fait flotter jusqu’à la Tamise. Pourtant, ce petit succès fut aussitôt suivi par la faillite de la compagnie de navigation de Brunel et par la mort de Brunel lui-même. Le jour de sa mort, le capitaine s’était plaint à son chef mécanicien d’avoir été dérangé dans son sommeil par des « coups venant d’en bas ».

Dans la foulée de cet incident lugubre, l’une des cheminées du Great Eastern explosa, tuant six personnes et détruisant le grand salon. Puis tout parut se calmer mais, lors de la quatrième traversée de l’Atlantique du paquebot de luxe, un vent de travers faussa une des roues à aubes et projeta les canots de sauvetage par-dessus bord. On n’avait jamais cessé d’entendre, même par grand vent, les coups frappés par un fantôme au fond de la cale.

Le Great Eastern put rejoindre son port d’attache mais sa carrière était terminée. Ses derniers propriétaires eurent même du mal à se débarrasser de sa ferraille. En 1885, alors qu’on finissait de le démonter, les soudeurs firent une étrange trouvaille : derrière un tapis enveloppant des outils rouillés, ils découvrirent le squelette du charpentier disparu, coincé entre les deux cloisons métalliques de la coque du Great Eastern.



 

Le créateur du navire, Isambard Kingdom Brunel, avait déjà fait ses preuves en construisant des ponts et des chemins de fer lorsqu’il avait eu l’idée de construire une cité flottante qui relierait Londres au reste du monde. A cette époque, les architectes navals avaient déjà conçu et fabriqué des vaisseaux de ligne d’un tirant de 3 000 tonnes. Mais le Great Eastern de Brunel les laissait loin derrière. Avec son tirant d’eau estimé à 100 000 tonnes, il pouvait faire rougir de honte tout ce qui flottait. Dix énormes chaudières alimentées par 115 fournaises activaient deux roues à aubes de 10 mètres et un propulseur d’appoint de 7 mètres. La fumée s’échappait par cinq cheminées. Le Great Eastern avait un matériel auxiliaire qui aurait pu équiper une petite armada – dont deux ancres de cinq tonnes chacune, six mâts immenses et son propre générateur de gaz. Il n’empêche : il était hanté. Lors du repas donné pour son lancement, Brunel avait invité tous les ouvriers qui avaient participé à sa construction et un seul manquait à la fête, un charpentier qui avait travaillé à la cloison double de la cale. Le baptême et le lancement du navire ne se déroulèrent pas comme prévu : le volume et le poids du navire firent se bloquer le mécanisme de lancement. Il n’aurait probablement jamais pu être lancé si une marée d’équinoxe ne l’avait fait flotter jusqu’à la Tamise. Pourtant, ce petit succès fut aussitôt suivi par la faillite de la compagnie de navigation de Brunel et par la mort de Brunel lui-même. Le jour de sa mort, le capitaine s’était plaint à son chef mécanicien d’avoir été dérangé dans son sommeil par des « coups venant d’en bas ». Dans la foulée de cet incident lugubre, l’une des cheminées du Great Eastern explosa, tuant six personnes et détruisant le grand salon. Puis tout parut se calmer mais, lors de la quatrième traversée de l’Atlantique du paquebot de luxe, un vent de travers faussa une des roues à aubes et projeta les canots de sauvetage par-dessus bord. On n’avait jamais cessé d’entendre, même par grand vent, les coups frappés par un fantôme au fond de la cale. Le Great Eastern put rejoindre son port d’attache mais sa carrière était terminée. Ses derniers propriétaires eurent même du mal à se débarrasser de sa ferraille. En 1885, alors qu’on finissait de le démonter, les soudeurs firent une étrange trouvaille : derrière un tapis enveloppant des outils rouillés, ils découvrirent le squelette du charpentier disparu, coincé entre les deux cloisons métalliques de la coque du Great Eastern. Le créateur du navire, Isambard Kingdom Brunel, avait déjà fait ses preuves en construisant des ponts et des chemins de fer lorsqu’il avait eu l’idée de construire une cité flottante qui relierait Londres au reste du monde. A cette époque, les architectes navals avaient déjà conçu et fabriqué des vaisseaux de ligne d’un tirant de 3 000 tonnes. Mais le Great Eastern de Brunel les laissait loin derrière. Avec son tirant d’eau estimé à 100 000 tonnes, il pouvait faire rougir de honte tout ce qui flottait. Dix énormes chaudières alimentées par 115 fournaises activaient deux roues à aubes de 10 mètres et un propulseur d’appoint de 7 mètres. La fumée s’échappait par cinq cheminées. Le Great Eastern avait un matériel auxiliaire qui aurait pu équiper une petite armada – dont deux ancres de cinq tonnes chacune, six mâts immenses et son propre générateur de gaz. Il n’empêche : il était hanté. Lors du repas donné pour son lancement, Brunel avait invité tous les ouvriers qui avaient participé à sa construction et un seul manquait à la fête, un charpentier qui avait travaillé à la cloison double de la cale. Le baptême et le lancement du navire ne se déroulèrent pas comme prévu : le volume et le poids du navire firent se bloquer le mécanisme de lancement. Il n’aurait probablement jamais pu être lancé si une marée d’équinoxe ne l’avait fait flotter jusqu’à la Tamise. Pourtant, ce petit succès fut aussitôt suivi par la faillite de la compagnie de navigation de Brunel et par la mort de Brunel lui-même. Le jour de sa mort, le capitaine s’était plaint à son chef mécanicien d’avoir été dérangé dans son sommeil par des « coups venant d’en bas ». Dans la foulée de cet incident lugubre, l’une des cheminées du Great Eastern explosa, tuant six personnes et détruisant le grand salon. Puis tout parut se calmer mais, lors de la quatrième traversée de l’Atlantique du paquebot de luxe, un vent de travers faussa une des roues à aubes et projeta les canots de sauvetage par-dessus bord. On n’avait jamais cessé d’entendre, même par grand vent, les coups frappés par un fantôme au fond de la cale. Le Great Eastern put rejoindre son port d’attache mais sa carrière était terminée. Ses derniers propriétaires eurent même du mal à se débarrasser de sa ferraille. En 1885, alors qu’on finissait de le démonter, les soudeurs firent une étrange trouvaille : derrière un tapis enveloppant des outils rouillés, ils découvrirent le squelette du charpentier disparu, coincé entre les deux cloisons métalliques de la coque du Great Eastern.

 






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